Vous avez décidé d'acheter un appartement à Paris et cherchez dans le 3ème ou le 4ème ?Situés sur le Marais historique, ancien marécage sur lequel la noblesse fait bâtir de beaux hôtels particuliers à la fin du Moyen ge, ces arrondissements ont été relativement épargnés par les grands travaux d’Haussmann. Conséquence : ils abritent plusieurs joyaux historiques comme la plus vieille maison de Paris, construite en 1407, ou la magnifique place des Vosges érigée sous Henri IV. Grâce à leurs nombreux musées et galeries, Centre Pompidou en tête, ces 2 arrondissements sont aussi des poids lourds culturels. Métamorphosé en 15 ans, le 3ème aligne friperies, boutiques de créateurs et bars trendy près de la rue de Bretagne. Les hipsters s’y pressent après un passage par le mythique marché des Enfants Rouges. Au sud, le 4ème longe la Seine et englobe l’Île Saint-Louis et une partie de l’Île de la Cité, dont Notre-Dame de Paris. Touristique et plus bourgeois, il n’en reste pas moins vivant et divers comme en témoignent le BHV, ses restaurants cashers et ses bars gays. Petits bémols : sorti des squares du Temple, Saint-Gilles du Grand Veneur et du jardin Anne Frank, le 3ème et le 4ème ne sont pas très verts. Enfin, si vous envisagez d’y acheter un bien, il faudra jouer des coudes et compter avec un budget conséquent.
Bienvenue dans l’un des quartiers les plus courus de la capitale ! Réparti autour du très charmant square du Temple qui fait face à la mairie du 3ème arrondissement, ce quartier limitrophe du 11ème arrondissement et de la place de la République est bien connu des gourmands pour son célèbre Marché des Enfants Rouges et ses stands de streetfood venus des 4 coins du monde. Le week-end à l’heure du brunch, on joue des coudes pour y déguster des sushis, un tajine ou des mezzés libanais ou dévorer un excellent sandwich préparé par Alain Miam Miam. Le marché jouxte la rue de Bretagne, artère phare du 3ème arrondissement où les petites terrasses, comme celle du Café Charlot, et les boucheries, primeurs, fromageries et autres commerces de bouche sont légion. La rue de Turenne constitue le deuxième grand axe du quartier. Plus passante, elle est connue pour ses nombreuses galeries d’art sises dans de beaux hôtels particuliers. Les hipsters et les fashionistas ne seront pas en reste et trouveront leur bonheur rue Vieille du Temple ou rue Charlot, dans lesquelles on ne compte plus les boutiques de vêtements de petits créateurs et de marques plus connues. Le soir, on se presse dans l’un des nombreux bars à cocktails comme le Mary Celeste ou la plus discrète Candelaria, ou sur l’une des nombreuses terrasses de la rue Dupetit Thouars ou de la rue Froissart autour du Carreau du Temple dont la magnifique structure en acier superbement rehabilitée accueille désormais un théâtre, un espace d’expositions et un gymnase au sous-sol. Côté immobilier, le quartier compte beaucoup de petites rues. Allergiques au vis-à-vis s’abstenir ! Les choses sont un peu différentes le long des principaux axes, notamment le long du boulevard Beaumarchais près du concept-store Merci et de la très bonne boulangerie Maison Plisson, à condition de ne pas avoir trop peur du bruit.
L’île de la Cité et l’île Saint-Louis se dressent fièrement sur les eaux de la Seine entre rive droite et rive gauche. Dans sa petite partie administrativement rattachée au 4ème arrondissement, l’île de la Cité rassemble plusieurs monuments célèbres et édifices d’envergure comme La Cathédrale Notre-Dame-de-Paris, l’Hôtel-Dieu, la Préfecture de Police et le Mémorial des Martyrs de la Déportation. Hormis son charmant marché aux fleurs, la zone est en revanche assez impersonnelle et la vie de quartier y est inexistante. Lieu de passage presque exclusivement tourné vers le tourisme, on n’y compte très peu d’habitations à vendre. Plus résidentielle, l’Île Saint-Louis compte de nombreux immeubles anciens, dont la majorité n’excède pas 4 étages, mais aussi quelques beaux hôtels particuliers comme l’Hôtel Lambert ou l’Hôtel De Lauzun. Ses petites ruelles étroites et très pittoresques font le bonheur des touristes et des parisiens qui s’y baladent les après-midis de week-ends ensoleillés avant d’aller chercher une glace chez Berthillon, réputé meilleur glacier de Paris. Le soir, le quartier retrouve son calme. En revanche, mis à part des boutiques touristiques, une poignée de petits restaurants typiques un peu désuets, et quelques commerces de bouche, la vie de quartier y est là encore très limitée. Si elles sont pleines de charme, les îles sont toutefois assez isolées en termes de transports et reliées au reste de l’arrondissement par seulement trois ponts.
Place des Vosges) Traversé par les rues de Rivoli, de Turenne, de Sévigné, des Francs-Bourgeois et d’une multitude de rues plus petites bordées d’immeubles anciens, Le Marais est bien desservi par les lignes de métro 1, 5, 7 et 8 à Pont-Marie, Bastille, Saint-Paul et Chemin Vert, Il constitue surtout l’un des quartiers phares de la capitale, dont la renommée dépasse largement nos frontières. Et pour cause : balades, shopping, restos, culture… L’offre semble infinie. Et si le quartier est aujourd`hui très touristique, il a su garder une certaine authenticité qui plaît aux Parisiens. Les péniches reconverties en bars et restaurants le bord de ses voies sur Berges réaménagées pour les piétons, comme les Maquereaux ou Monsieur Pélican, attirent les flâneurs en été. Fermées aux voitures le week-end, les rues du Marais sont également prises d’assaut par les promeneurs du dimanche qui viennent voir une exposition à l’Espace des Blancs Manteaux ou dans les galeries du sud de la rue de Turenne ou faire du shopping rue des Archives ou rue des Rosiers. Pendant longtemps, cette zone a d’ailleurs été la seule dont les magasins étaient ouverts le dimanche et fermés le samedi. Le quartier est en effet l’une des places fortes de la communauté juive de Paris, notamment autour de la rue Vieille du Temple, de la rue Pavée et de la rue du Roi de Sicile. La rue des Rosiers en constitue l’épicentre avec ses pâtisseries casher et ses restaurants de streetfood comme le très emblématique As du Falafel, et ses restaurants de cuisine israélienne comme Miznon ou Schwartz rue des Écouffes. Le quartier compte également plusieurs bâtiments religieux comme la très connue Synagogue des Tournelles. À quelques rues de là, dans le bas de la rue des Archives et les abords de la rue Sainte-Croix de la Bretonnerie, c’est la communauté gay qui tient le haut du pavé. Ses nombreux bars et restaurants très animés le soir hissent bien haut leurs drapeaux arc-en-ciel. Un peu plus au sud, la très agréable place pavée Sainte-Catherine est le lieu idéal pour un déjeuner en terrasse. Elle se situe près des musées Carnavalet et Cognacq Jay et du métro Saint-Paul, dans un secteur où abondent les boutiques design et les petits cafés. Elle se trouve surtout à deux pas de la place des Vosges, l’une des plus belles de Paris avec son square et ses arcades sous lesquelles les cafés alternant avec des galeries. Les offres y sont en revanche rares et les prix exorbitants. Contrairement au quartier voisin de Beaubourg lui aussi très dense, Le Marais compte plusieurs petits espaces verts et jardins comme le jardin des Rosiers - Joseph Mignoret, les squares Léopold Achille, Albert Schweitzer et Georges Cain. Côté Seine, la charmante rue François Miron rassemble quelques restaurants et magasins et possède une vie de quartier plutôt sympa, notamment au croisement avec la rue Tiron. Près du Pont Marie et des abords du musée national de la Photographie, du Mémorial de la Shoah et de la bibliothèque publique Forney située dans le bel Hôtel de Sens, ce secteur compte cependant peu d’habitations. Enfin, si Le Marais est sociologiquement plus bourgeois et âgé que la moyenne parisienne, il accueille aussi de nombreuses familles attirées par ses bons lycées Charlemagne, des Francs-Bourgeois et Victor-Hugo. En revanche, gare aux prix !
(pour des biens d'exception) Traversé du nord au sud par la rue Beaubourg qui se prolonge en rue du Renard et mène à l’Hôtel de Ville, ce quartier hyper central à cheval entre le 3ème et le 4ème arrondissements est animé de jour comme de nuit. Il constitue l’un des points névralgiques de la vie culturelle parisienne comme en témoignent ses nombreux théâtres (Théâtre de la ville, Point Virgule, Café de la gare…) et bien évidemment le Centre Georges Pompidou (Beaubourg pour les intimes), plus grand musée d’art contemporain de France. À son sommet, le vaste rooftop du restaurant Georges, propriété des frères Costes, offre l’une des plus belles vues sur la capitale. Revers de la médaille : cette zone est sans surprise très touristique. Mais si les alentours du musée constituent un secteur très passant, le quartier n’en est pas pour autant impersonnel. Les environs de la rue Beaubourg possèdent par exemple une petite vie de quartier assez authentique, notamment du côté de la rue Rambuteau et ses petits commerces de bouche (fromager, boucher, primeur, cavistes, etc.) et de la rue Chapon. La rue voisine des Gravilliers est même devenue très à la mode ces dernières années et accueille plusieurs établissements branchés comme les restaurants Terra et Derrière ou le Café Ineko. En revanche, gare au vis-à-vis et au manque de lumière dans les appartements des petites rues étroites de cette zone. C’est notamment le cas dans la rue au Maire située en bordure du quartier Arts et Métiers et connue pour ses restaurants asiatiques, comme la petite cantine chinoise Chez Chen ou le plus trendy CAM, tenu par un chef coréen qui a conservé la devanture et le nom d’origine d’une boutique qui vendait autrefois des tours Eiffel. Direction le sud du quartier qui rassemble plusieurs points d’intérêts comme l’église Saint-Merri et la Tour Saint-Jacques et qui a la particularité de compter deux mairies (rien que ça !) : celle du 4ème arrondissement qui donne sur la charmante place Baudoyer et accueille un marché deux fois par semaine, et bien évidemment la très belle mairie de Paris. Le quartier abrite également le BHV (acronyme de Bazar de l'Hôtel de Ville), l’un des grands magasins les plus emblématiques de la capitale. Il marque la frontière avec le quartier Saint-Paul, fief historique de la communauté homosexuelle, et se situe à deux pas de la rue Sainte-Croix de la Bretonnerie, connue des amateurs de déco pour abriter la très branchée boutique Fleux. Petit bémol : ce quartier très dense n’est pas l’un des plus verts de Paris à l’exception notable du jardin Anne Frank, calme et méconnu, ou des sublimes jardins du musée des Archives nationales, dont l’édifice occupe un pâté de maison entier entre les rues des Quatre Fils, des Francs bourgeois, Vieille du temple et des Archives.
Au sud de la Porte Saint-Martin, à la limite avec les 2ème et 10ème arrondissements, Arts et Métiers forme un petit triangle calme encadré par de grands axes plus passants comme les boulevards Saint-Martin et Sébastopol et la rue de Turbigo. Les amateurs de culture n’auront pas trop de mal à situer ce quartier qui renferme plusieurs institutions majeures comme la Gaîté Lyrique, qui fait face au square Emile Chautemps très prisé des familles du coin, le théâtre du Marais et bien sûr le Conservatoire national des Arts et Métiers, grand établissement d’enseignement supérieur et de recherche avec son musée des sciences et des technologies et sa bibliothèque publique. Pour le reste, le quartier est traversé par de petites rues bordées d’immeubles anciens comme la rue Notre-Dame-de-Nazareth et ses grossistes et marchands de textile ou la rue Meslay qui mène vers République. Proche des lignes de métro 3, 5, 8, 9 et 11, cette dernière est aussi l’artère la plus dynamique du secteur en termes de turnover immobilier. Les choses sont en revanche un peu différentes rue du Vertbois. En dehors de Chez l’Ami Louis, restaurant gastronomique très prisé des stars du cinéma et du monde politique américains, cette rue peu passante aligne les commerces et restaurants vides aux vitrines barrées de pancartes “à louer”. Si plusieurs initiatives ont tenté de lui donner un second souffle, à l’image de “La Jeune Rue”, projet lancé par un riche homme d’affaires qui voulait en faire un temple de la gastronomie, toutes se sont plus ou moins révélées infructueuses. Le soir, si les petites terrasses au croisement de la rue Notre-Dame-de-Nazareth et du passage du Pont aux biches sont pleines à craquer, de même que le rooftop du nouveau Grand Hôtel des Arts et Métiers (avec néanmoins une clientèle beaucoup plus BCBG), Arts et Métiers reste une zone assez calme et qui ne dispose pas d’une vie de quartier très animée. La présence du très bon lycée de Turgot en fait cependant un secteur plutôt recherché par les familles. Changement de décor au fur et a mesure que l’on se rapproche du boulevard Sébastopol. Le quartier se fait plus populaire, notamment aux abords de la rue Blondel connue pour ses nombreux coiffeurs afros. Le soir, la présence de quelques prostituées aux croisements explique pourquoi les prix restent ici un peu plus abordables que dans le reste du 3ème arrondissement.
Au sud de Bastille, le port de l’Arsenal et ses petits bateaux amarrés le long de quais pavés, s’étend le long du Boulevard Bourdon. Seul port de Paris intra-muros, il donne son nom à ce quartier en pleine transformation depuis le réaménagement des voies sur berges et le remplacement des voitures par des restaurants et terrasses sur des péniches. Ce quartier abrite actuellement l’un des plus vastes chantiers du centre de la capitale : la réhabilitation des 16 étages et 43.000 m2 du site Morland, ancien siège de la préfecture de Paris construit face à la Seine entre 1958 et 1964. Confié au célèbre architecte britannique David Chipperfield, le site prévoit d’accueillir une auberge de jeunesse, un hôtel de luxe, une piscine, une crèche, un marché alimentaire couvert mais également des habitations, notamment quelques logements sociaux. Un projet de grande envergure qui devrait donner un sacré coup de jeune à ce quartier. Le long du boulevard Henri IV qui mène à Bastille, la massive caserne des Célestins est le siège de la Garde Républicaine et fait face au niveau du métro Sully-Morland au Pavillon de l’Arsenal, lieu d’expositions gratuites consacré à l’architecture. Avec ses deux établissements scolaires privés réputés que sont l’École Massillon et l’École des Francs-Bourgeois située dans le bel Hôtel de Mayenne, le quartier attire les familles. L’offre immobilière est constituée de beaux hôtels particuliers divisés en appartements mais parfois sombres avec de faibles hauteurs sous-plafonds pour les étages inférieurs. L’ascenseur y est également très rare, comme dans la plupart des immeubles du Marais.
Le chasseur immobilier est rémunéré uniquement par l’acheteur et travaille 100 % dans votre intérêt. Sonmandat est exclusif : il ne peut pas être rémunéré par le vendeur.
Chez Je Rêve d’une Maison, plus de 80 % de nos clients trouvent leur bien grâce à notre accompagnement. Et pour les 20% restant, note service ne leur a rien coûté. Vous ne pouvez que gagner.
Oui. Un chasseur immobilier doit détenir une carte professionnelle « Transaction sur immeubles et fonds de commerce » (carte T), être immatriculé au RSAC, et disposer d’une assurance responsabilité civile professionnelle.
Oui. Le chasseur immobilier peut aussi cibler des investissements locatifs : studios, colocations. Il sélectionne les biens en fonction de votre objectif (rendement, plus-value,fiscalité). Nous avons différentes formules. Vous pouvez contacter Thomas Eymery (thomas@jerevedunemaison.com) en cas de besoin.
Non. Chez Je Rêve d’une Maison, nous sommes spécialisés dans l’achat.
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Excellente question! Oui. La plupart des agences aiment vendre à un particulier accompagné d'une chasseur. En effet, les agences savent qu'une acheteur accompagné par un chasseur est souvent beaucoup plus sérieux qu'un acheteur lambda. Et pour les agences, le sérieux vaut de l'or.
Bien sûr ! Le chasseur immobilier est également un expert en négociation. Il s’appuie sur son analyse du marché et sur les défauts/points de valeur du bien pour obtenir le meilleur prix possible pour l’acheteur. En tant qu'expert, il aura bien plus de facilité à négocier qu'un particulier.
En moyenne, un acheteur accompagné par un chasseur immobilier trouve son bien entre 1 et 3 mois selon la difficulté contre 6 à 9 mois en moyenne lorsqu’il cherche seul.
Une mission de chasse se déroule en 6 étapes :
1. Rencontre et cadrage du projet
2. Recherche active et présélection des biens
3. Organisation et accompagnement aux visites
4. Analyse comparative et conseil
5. Négociation et offre d’achat
6. Suivi jusqu’à la signature chez le notaire.
Si aucun bien ne correspond à vos attentes, vous ne payez rien. Le mandat prend fin à son terme, et vousrestez libre de poursuivre vos recherches par vous-même.
Le premier rendez-vous est toujours gratuit et sans engagement. Il permet d’échanger sur votre projet, voscritères et votre budget, et de vérifier si la chasse immobilière est adaptée à vos besoins.
Les honoraires sont dus uniquement le jour de la signature de l’acte authentique chez le notaire. Avantcela, vous n’avez rien à régler.
Les honoraires d’un chasseur immobilier sont de 2% à 2,5 % du prix d’achat du bien (selon le budget), avec un minimum forfaitaire de 12 000€. Chez Je Rêve d’une Maison, les frais sont transparents et indiqués dès la signature du mandat. Ces honoraires ne sont payés qu'en cas de succès soit le jour où vous récupérez les clés. Pas de frais de dossier. Pas de frais cachés.
Oui. Un chasseur immobilier consulte à la fois les annonces visibles (portails, agences, notaires) et les biens off-market, c’est-à-dire ceux diffusés avant mise en ligne grâce à son réseau et à ses outils technologique . Mais attentions aux idées reçues, le off-market est assez rare et ce sont souvent des biens hauts-de-gamme.
Les biens proposés par votre chasseur d’appartement ont été scrupuleusement vérifiés. Certaines agences de chasse effectuent des pré-visites, mais chez JRDM, nos chasseurs possèdent une expertise leur permettant d'identifier les détails importants d'une annonce ou d'une visite virtuelle, et de poser les bonnes questions lors de la vérification d'un bien. À moins que nos clients ne résident en dehors de la région ou à l'étranger, nos chasseurs n'effectuent généralement pas de pré-visites. Nous accordons plutôt une grande importance à la réalisation de visites en compagnie de nos clients. En effet, ces visites jouent un rôle essentiel en permettant au chasseur de mieux comprendre les attentes de son client et de peaufiner ses critères.
Je Rêve d’une Maison a développé ImmoScanTM, une technologie propriétaire qui scanne 100% du marché immobilier en temps réel. Cela signifie que nous avons accès à tout ce qui est public (annonces d'agences et de particuliers) ainsi qu'aux annonces off-market que nous proposent nos partenaires. Pour chaque client et donc chaque projet, nous sélectionnons le chasseur immobilier qui connaît le mieux la zone géographique et est le plus qualifié par rapport au type de bien et aux critères de recherche.
Si vous recevez un bien que votre chasseur d'appartement ne vous a pas proposé mais qui semble correspondre à votre recherche, nous vous invitons à le lui envoyer afin de comprendre pourquoi et, si besoin, l'inclure dans le processus classique de recherche. Puisque nous travaillons en mandat exclusif, la rémunération sera due. En effet, chez Je Rêve d'une Maison, notre service va bien au-delà du sourcing et nous vous aiderons ainsi dans toutes les étapes de vérification, d'offre et de sécurisation jusqu’à la remise des clefs.
L'intérêt de notre service est de vous permettre de gagner du temps en nous déléguant votre projet, tout en maximisant vos chances de trouver. Vous accédez en effet à la totalité du marché "en ligne" ainsi qu'au off-market, c'est à dire les biens qui ne sont jamais publiés et nous sont proposés par nos partenaires. Il n'y a donc pas d'intérêt à ce que vous continuiez à chercher de votre côté. Par ailleurs, nous serions dans ce cas en concurrence avec vous, ce qui, en plus d'être redondant, pourrait mettre en péril notre légitimité auprès des agences et des particuliers que nous contactons.
Un chasseur immobilier est un professionnel qui recherche un bien pour le compte exclusif de l’acheteur.Contrairement à une agence traditionnelle qui défend les intérêts du vendeur, le chasseur défend uniquement ceux de l’acquéreur : il sélectionne, visite, négocie et accompagne jusqu’à la signature.
Aujourd'hui, trouver et acheter un bien immobilier à Paris, en région parisienne ou encore dans des métropoles françaises comme Lyon, Nantes, Bordeaux ou Montpellier relève du parcours du combattant : trop de portails, multiplication des annonces, manque de transparence… C’est un full-time job que la plupart d’entre nous n’a pas le temps de s’offrir. Passer par un chasseur immobilier, c’est gagner du temps, de l’argent et profiter de l’accompagnement et des conseils d’un expert qui défend exclusivement vos intérêts.