Vous souhaitez acheter un appartement ou une maison dans le 7ème arrondissement de Lyon ?Populaire, bohème et familial selon les quartiers, le 7e est le plus vaste arrondissement de Lyon. Il s’étend du 3e, au nord, jusqu’aux communes de Saint-Fons et de Vénissieux, au sud et du Rhône sur son flanc ouest, jusqu’au 8e arrondissement, à l’est. Très bien desservi en transports, il est traversé du nord au sud par la ligne B du métro qui file vers la Part-Dieu, tandis qu’à son extrémité nord, la ligne D permet de rejoindre rapidement le centre de Lyon. Les lignes de tramways T1 et T2 et un accès rapide à l’autoroute A7 et au boulevard périphérique très pratique si vous travaillez en banlieue, complètent ce panorama. Le 7e présente également un autre atout : des prix de l’immobilier moins élevés que la moyenne. Il n’en fallait pas tant pour attirer les nouveaux résidents ! Depuis 1999, il a vu sa population augmenter de près de 35% pour atteindre 82.000 habitants. Arrondissement en pleine ébullition et en perpétuelle évolution, de nombreux projets immobiliers continuent d’y voir le jour.
Au sud de la Guillotière, ce quartier se déploie autour de la place Jean Macé et de la mairie du 7e arrondissement. Plus tranquille que la Guillotière, cette zone desservie par la ligne B du métro attire de jeunes familles tendance bourgeois-bohème, séduites par des prix du m2 plus abordables que dans le centre de Lyon, ainsi que par la présence de nombreux commerces de proximité, bars et restaurants. Jean Macé constitue aussi l’un des principaux quartiers universitaires de Lyon. Dans sa partie ouest, il accueille la bibliothèque Chevreul et celle de la Maison Internationale des langues et cultures, mais aussi Sciences Po Lyon face au Centre d’histoire de la Résistance et de la Déportation, une antenne de la faculté Jean Moulin - Lyon III, et bien sûr, le splendide campus de l’université Lumière - Lyon II, bâti en bordure de Rhône. Si les immeubles haussmanniens alignés le long des berges sont prisés d’une population aisée, les alentours sont plus mixtes, tant sur les plans immobilier que sociologique, et attirent notamment de nombreux étudiants. De l’autre côté, à l’extrémité est du quartier près du 8e arrondissement, Jean Macé présente un visage plus impersonnel. Les commerces s’y font plus rares et la vie de quartier y est moins animée. Ce secteur tend toutefois à évoluer, comme l’illustre la construction de plusieurs nouvelles résidences ces 10 dernières années.
Le quartier de Guillotière sud se situe à l’extrémité nord de l’arrondissement. Il est desservi par 3 stations de métro de la ligne D qui longe le cours Gambetta en limite du 3e arrondissement, et qui croise la ligne B au niveau de Saxe-Gambetta. Ses résidents bénéficient donc d’un accès rapide à la Part-Dieu, à Bellecour, et plus largement au centre de Lyon. Guillotière est un quartier très multiculturel, où les kebabs côtoient les épiceries africaines et les cantines chinoises des alentours des rues Passet et Pasteur. Çà et là, quelques restaurants et bars branchés prisés des trentenaires et des jeunes familles témoignent toutefois de la gentrification du quartier. Si certains habitants déplorent des problèmes d'insécurité sporadiques, Guillotière continue d’attirer de nombreux acquéreurs tendance bohème, notamment des primo-accédants, séduits par ses prix, son dynamisme, sa centralité et son offre immobilière variée composée d’édifices du XIXe et du début du XXe siècle, de bâtiments des années 1930 et 1970 et de résidences semi-récentes. Si l’extrémité est de la Guillotière-sud est plus impersonnelle et moins pourvue en commerces, elle bénéficie d’un avantage : la présence du vaste parc Sergent Blandan. Troisième plus grand espace vert de Lyon, il a ouvert ses portes en 2013 sur le site d’une ancienne caserne et offre une respiration bienvenue dans un secteur plutôt dense. Plus cossue, l’extrémité ouest du quartier aligne les beaux immeubles bourgeois construits sous le Second Empire. Les plus recherchés se situent le long du quai Claude Bernard et bénéficient de vues dégagées sur la Presqu’île, ainsi que de la proximité de la promenade des berges du Rhône et du centre nautique Tony Bertrand. Construite au début des années 1960, cette étonnante piscine érigée en bordure de fleuve attire les Lyonnais qui viennent y nager et se dorer la pilule à l’arrivée des beaux jours.
Pour les Lyonnais, Gerland est de longue date synonyme de sport et de loisirs. Le quartier abrite quelques lieux emblématiques, comme le fameux stade Matmut Stadium, ancien temple de l’Olympique Lyonnais désormais dévolu à l’équipe de rugby du LOU, le Palais des sports, la piscine de Gerland ou encore la Halle Tony Garnier, principale salle de concerts et de spectacles de la ville. Cet ancien quartier industriel est cependant longtemps resté peu considéré par les acquéreurs lyonnais sur le plan immobilier. Cette époque est aujourd’hui bien révolue et Gerland connaît une renaissance urbaine, économique et culturelle spectaculaire depuis une quinzaine d’années. Ultra-dynamique, il constitue l’un des principaux pôles de recherche scientifique de France, notamment grâce au Biodistrict Lyon-Gerland qui rassemble de nombreuses PME innovantes et des laboratoires leaders qui seront bientôt rejoints par un futur centre de formation de l’OMS. Gerland est également un pôle éducatif de premier ordre, porté par une annexe de l’université Claude Bernard-Lyon I, par l’ENS, par la Cité scolaire internationale, par la Tony Parker Academy qui forme les grands sportifs, et bientôt, par le nouveau campus de l’EM Lyon. Bouillonnant et créatif, certaines de ses usines désaffectées accueillent désormais des événements culturels emblématiques, comme Lyon Street Food Festival ou les Nuits Sonores, tandis que les friches ont progressivement été réhabilitées pour laisser place à des sièges d’entreprises et à de nouvelles zones résidentielles, comme la ZAC du Bon Lait, Les Girondins ou le Pré-Gaudry. Ces dernières abritent de nombreux immeubles récents de quelques étages, disposant parfois d’un espace extérieur. Tout ceci fait de Gerland l’un des quartiers les plus en vogue de Lyon et lui permet d’attirer une population variée composée de familles de cadres et de jeunes primo-accédants.
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